Pendant longtemps, oiseaux, hérissons, lézards, papillons et autres insectes ont trouvé assez facilement de quoi se nourrir dans nos jardins, ainsi que des endroits pour se reproduire et passer l’hiver. Mais les lieux favorables à la petite faune se raréfient, notamment en raison de la pression de l’urbanisation. De nombreuses espèces autrefois communes se trouvent aujourd’hui dans une situation précaire, et parfois même en danger d’extinction.
Pourtant, cette tendance n’est pas irréversible. Si chaque propriétaire acceptait de cesser d’utiliser des pesticides, de laisser pousser l’herbe sur un coin de pelouse ou d’opter pour des plantes sauvages indigènes lors du renouvellement de ses plantations, on observerait rapidement une amélioration de la situation.
Vous aussi, avec quelques gestes simples, vous pouvez contribuer à augmenter sensiblement les chances de survie de la faune sauvage.